Le casque du Lhéris
Les averses de pluie de samedi n’étaient pas engageantes mais les différents bulletins météos annonçaient une amélioration. Les averses sur l’autoroute ne sont pas rassurantes mais nous marcherons sans pluie, les éclaircies étant rares. Cependant, nous sommes 17 décidés à gravir le Casque du Lhéris par cette voie normale connue de peu de participants.
Contrairement aux habitudes, nous adoptons un départ « élégant » et un retour par la voie normale. Le chemin part du parking précédant la fontaine de Crastes (réputée pour ses eaux très minéralisées) et nous quittons le chemin direct pour monter directement au plateau de Teilhet (bien boueux après le piétinement du bétail) et rejoindre par une longue traversée à niveau la cabane du Lhéris. La montée par une cheminée qui constitue la seule faille de la falaise du casque du Lhéris est trop tentante… Ainsi nous arrivons directement au sommet mais la brume a du mal à se dissiper même si des coins de ciel bleu apparaissent. Le repas est bien accompagné (boissons et même un gâteau) comme d’habitude mais la brise fraîche et humide n’incite pas à la sieste.
Le retour direct fut rapide (parfois trop sur le terrain trop gras) ; la fontaine de Crastes et ses eaux « miraculeuses » ne serviront pas à des soins mais à nettoyer chaussures et bâtons qui ont conservé des traces du terrain très gras de la journée. La journée s’achève comme d’habitude autour d’un verre et d’un pastis béarnais en Bigorre.
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