Chers amis randonneurs, laissez moi vous raconter la fabuleuse histoire de la conquête de la cabane d’Arriutort.
Tout commence par un beau matin de février où l’air sent bon la garigue et si on tend l’oreille, les cigales ne sont pas loin…
Nous nous retrouvons, donc, à huit sur le parking du rendez-vous.
Au cours de l’échauffement de l’encadrant, un de nous se blesse…
C’est donc à sept que nous partons pour cette aventure, direction Laruns.
Après un début sur un chemin bien sec et légèrement pentu, nous rencontrons, enfin, la neige. Nous progressons à bonne allure dans un terrain par moments bien accidenté. Suite à un effort non négligeable, nous arrivons à la cabane. Là, la pause déjeuner commence. Comme à son habitude, le fruit de la vigne ne manque pas ainsi que la nourriture qui cale l’estomac. Mention spéciale à Philippe pour son saucisson et à Dan pour ses gâteaux coco-chocolat.
Au cours du repas, nos yeux se portent sur les différents sites qui nous entourent. Après réflexion, cinq d’entre nous décident de partir faire le col d’Arriutort. Pour le retour du col, certains décident de descendre pleine pente sur les fesses, d’autres, par crainte d’avoir leur “auguste” mouillé, descendent normalement. Après cette escapade, nous nous retrouvons tous à la cabane pour le retour à la voiture.
Après observation, nous nous rendons compte qu’un de nous a le pantalon bien déchiré au niveau de l’entrejambe. Vu la fraîcheur de la neige, nous comprenons qu’il soit descendu debout…
La descente se passe sans grande difficulté, juste une paire de lunettes perdue, un bonnet par là, retrouvé par Jean-Marie.
Durant cette descente, Maryse nous fait un double salto avant, mais malheureusement pas dans la neige mais dans l’herbe et Olivier nous fait une figure de style.
Nous nous retrouvons à Laruns pour boire un verre entre nous, déguster un excellent pastis fait par Maryse.
Je souhaite une très bonne semaine à ceux qui vont partir dans les Alpes.
Merci à vous tous pour vos sourires et votre bonne humeur.
Georges
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